« L’année dernière, nous avons commencé à déployer notre stratégie markéting à travers les réseaux sociaux. Pourquoi? Parce que nous avons pris conscience qu’il y avait là une relation à créer entre April Canada et les nombreux courtiers présents sur ces différentes plateformes. Nous ne voulions pas manquer de nouvelles opportunités de connexion », explique son directeur général Nick Kidd.

Depuis, le grossiste s’est déployé sur Facebook, mais surtout LinkedIn et Twitter, des réseaux plus « professionnels » et donc, plus à même de le mettre en relation avec des courtiers.

« Facebook n’est pas au cœur de notre stratégie, car c’est un réseau qui s’adresse plus aux consommateurs. Nos courtiers ne le souhaitent pas nécessairement et nous ne voulons pas interférer dans leur temps libre, poursuit M. Kidd. Moi-même, lorsque je suis sur Facebook, je ne veux pas être dérangé par des stratégies markéting parfois agressives. Je ne veux donc pas faire à nos courtiers ce que je n’aime pas que l’on me fasse… »

En un an, April Canada a ainsi réussi à former une communauté qui rassemblait, le 1er mars 2016, 1 377 membres sur Facebook, 567 sur LinkedIn et 501 sur Twitter.

« Twitter c’est bien, cela peut permettre de créer une audience très rapidement. Ceci étant dit, avoir 500 followers ne signifie pas que 500 personnes vous écoutent », prévient le directeur général d’April Canada.

C’est d’ailleurs toute la limite des réseaux sociaux selon lui. « Il ne faut pas croire que l’on crée une relation sur les réseaux sociaux. Ils sont le parfait moyen de commencer une relation, ils ne représentent pas l’ensemble du processus. La relation outline reste la plus importante. »