Aviva Canada s’associe au fournisseur américain de technologies de réclamations virtuelles Snapsheet afin de permettre l’envoi de réclamations sur téléphone intelligent en assurance automobile. Il s’agit du premier partenariat canadien pour le fournisseur.

Une fois que le client dépose une réclamation, il prend des photos des dommages au véhicule et les soumet à travers l’application AvivaExpress, alimenté par Snapsheet. L’équipe d’évaluateurs de Snapsheet traite et inspecte les dommages causés aux véhicules en fonction des photos.

À l’aide d’un logiciel spécialisé, le fournisseur peut faire une estimation des couts des réparations. Le client reçoit alors le paiement de son assureur et peut apporter sa voiture au garage de son choix. Les clients sont guidés par le service à la clientèle de Snapsheet tout au long du processus, a indiqué le fournisseur.

Faciliter le processus de réclamation

« Aviva partage notre objectif principal de faciliter le processus de réclamation pour tout le monde. Nous sommes ravis d’étendre nos services au marché canadien », affirme le PDG et fondateur de Snapsheet, Brad Weisberg.

Un projet pilote mené par Aviva a révélé que 93 % des clients ont choisi d’essayer la plateforme virtuelle, qui leur a permis de régler la réclamation entre 20 et 40 % plus rapidement qu’avec les canaux traditionnels.

« Les résultats de notre projet pilote ont démontré une grande amélioration du processus de réclamation pour nos clients. Le temps requis pour qu’une estimation soit complétée est réduit de manière signification, ce qui aide à réduire les incertitudes pour nos clients », souligne Lynn Anderson, chef des réclamations par intérim chez Aviva Canada.

38 % des assureurs utilisent les réclamations virtuelles

Selon l’étude 2017 Future of Claims Study de LexisNexis, 38 % des assureurs utilisent un processus de réclamations virtuelles alors que 100 % ont exprimé leur intérêt d’adopter ce genre de technologie dans les cinq prochaines années.

 « Nous croyons que le processus de réclamation devrait être simple. La plupart des assureurs pensent de la même façon, mais n’ont pas nécessairement accès à la technologie pour le faire. Notre objectif est de combler le fossé entre les assureurs et la technologie de réclamations virtuelles partout. Notre expansion canadienne n’est que le début », ajoute M. Weisberg.