En 2014, Desjardins Sécurité financière (DSF) a enregistré un résultat net de 295 millions de dollars (M$), contre 382 M$ (soit une baisse de près de 23 %) au terme de l’exercice précédent. La détérioration de l’expérience technique des produits en 2014 et la révision de certaines hypothèses actuarielles en 2013 expliquent en grande partie cet écart. Par ailleurs, la performance des placements liés aux marchés financiers favorables, particulièrement au premier semestre, a eu un effet positif sur les résultats.

Ainsi, Desjardins Sécurité financière a réalisé une croissance de 4,7 % de ses primes brutes d’assurance qui totalisent 3,6 milliards de dollars (G$). Les ventes d’assurance atteignent 457,1 M$. Quant au secteur de l’épargne, il affiche une augmentation de 19,6 % de ses ventes totales qui s’élèvent à 3,1 G$.

Par ailleurs, DSF continue de bénéficier d’une excellente solidité financière. Le taux de rendement des capitaux propres revenant à l’actionnaire est de 13,1 %. Au 31 décembre 2014, l’actif sous gestion et administration présente une augmentation de 12,2 % pour atteindre 41,3 G$ comparativement à 36,8 G$ au terme de 2013.

« Desjardins Sécurité financière continue de s’affirmer sur le marché canadien, notamment avec l’intégration des activités canadiennes d’assurance vie de State Farm, a déclaré Monique Leroux, présidente et chef de la direction du Mouvement Desjardins et chef de la direction de DSF. Dans un marché hautement compétitif, les succès de notre compagnie d’assurance de personnes et la vitalité de tous ses secteurs d’activité sont la preuve de la force de l’esprit coopératif. »