En embauchant Yvan Potvin comme directeur du développement des affaires, le Groupe Jetté compte se faire connaitre dans les régions où la bannière est moins connue au Québec. À cet effet, il travaillera de concert avec le président Yannick Jetté.« Nous avons ciblé quelques régions où nous voulons être plus proactifs, notamment le Lac-Saint-Jean, la ville de Québec et la Rive-Sud de Québec », a confié M. Jetté au Journal de l’assurance. Groupe Jetté compte actuellement 52 cabinets membres, qui totalisent 67 millions de dollars (M$) de primes. Cinq nouveaux cabinets ont joint la bannière en 2014.

L’efficacité des processus d’affaires demeure aussi au cœur de la mission du Groupe Jetté. La bannière compte ainsi sur l’arrivée des e-Docs, mis en place par le Centre d’étude de la pratique d’assurance (CSIO). Abonné à la Centrale Ultima, Groupe Jetté compte y avoir accès en 2015.

En 2014, la bannière voulait augmenter son nombre de fournisseurs en assurance des entreprises. Le tout ne s’est pas matérialisé, mais la bannière a travaillé à bonifier son offre avec ses partenaires actuels en assurance des entreprises, affichant une croissance de 8 % dans ce segment en 2014. « Nous croyons que nous pouvons faire encore mieux», dit M. Jetté, qui terminait sa première année en tant que PDG et propriétaire, en partie, du Groupe Jetté.

La bannière a aussi travaillé sur la qualité de son service offert aux membres en 2014. « Nous nous préoccupons constamment de garder nos troupes motivées, engagées et animées par un sentiment de dépassement de soi. C’est un défi de tous les instants. Augmenter la qualité du service à la clientèle est essentiel pour demeurer indispensable auprès de nos membres. Nous avons une offre de service à un prix très compétitif. Nous avons la structure d’un grand cabinet, mais avec un esprit d’entrepreneur. Nos membres ont le contrôle de leur destinée », dit-il.

En 2015, le Groupe Jetté vérifiera s’il y a des doublons entre ses fonctions et celles de ses membres. « Nous voulons voir s’il y a des tâches que nous pourrions reprendre de nos cabinets. Nous faisons tout ce que nous pouvons pour leur enlever du clérical », dit M. Jetté.