Une technologie qui pourrait être tout aussi révolutionnaire qu’Internet gagne en popularité : la chaine de blocs (blockchain).

C’est ce qu’affirme Guy Carpenter à propos de cette technologie de stockage et de transmission d’informations réputée pour sa transparence et sa sécurité.

Les banques s’y sont mises

Selon le spécialiste américain en réassurance et risque global, « personne ne sait encore à quel point la blockchain va changer la donne », que ce soit pour les gouvernements, les services de soins de santé ou encore les services financiers. Comme c’était le cas pour Internet au début des années 1990.

Guy Carpenter cite pour exemple les institutions bancaires qui, partout dans le monde, adoptent la chaine de blocs pour diverses actions telles que les règlements commerciaux, le traitement des paiements et les transactions transfrontalières.

L’impact en assurance

Depuis quelques mois, l’avènement de la chaine de blocs fait réfléchir les dirigeants en assurance. L’Autorité des marchés financiers a révélé qu’elle réfléchissait à son encadrement, particulièrement en ce qui a trait aux cryptomonnaies, comme le Bitcoin. Au printemps, des assureurs participant au forum InsurTech Québec ont aussi affirmé y voir d’innombrables possibilités pour l’industrie.