Plus de 400 nouveaux conseillers ont fait affaire avec La Survivance en 2006, comparativement à une centaine les années précédentes. L’assureur travaille également à développer un nouveau produit qui sera lancé au début de l’année 2008.Richard Gagnon, président de La Survivance, affirme que sa compagnie est en train de mettre en place un réseau de distribution intéressant. La Survivance vise maintenant à devenir une référence pour certains produits spécialisés auprès des conseillers, telles les prestations du vivant.

« Avoir 400 nouveaux conseillers est vraiment exceptionnel. Nous avons beaucoup travaillé sur cet élément. » Cette hausse du nombre de représentants n’est pas étrangère au succès des produits de La Survivance, ajoute M. Gagnon. « Nous voulons que le conseiller ait le réflexe de penser à La Survivance pour les produits de prestations du vivant », lance le président de la mutuelle.

M. Gagnon se dit aussi fier de la hausse de 14,2 % du rendement de l’avoir des assurés, qui a atteint 26,6 M$ en 2006.

L’entreprise a mis l’accent sur l’assurance individuelle en 2006. Le volume de nouvelles affaires dans ce secteur a grimpé de 10 % au cours de la dernière année et de 50 % au cours des trois dernières années.

Les produits de maladies graves Prodige et d’invalidité Paire ont connu du succès auprès des représentants en 2006 grâce à leur caractère novateur. Ces produits ont été lancés en 2004 et 2006, respectivement. Richard Gagnon anticipe de bons résultats avec son futur produit.

La Survivance testera également le marché ontarien en 2007, sans se fixer d’objectifs précis. « Notre but est de tenter certaines expériences et de tirer nos conclusions par la suite », spécifie M. Gagnon.

L’assureur continuera également à développer son offre en assurance collective et plus précisément dans le milieu associatif. La Survivance y a déjà signé quelques contrats en 2006, notamment avec le Jeune Barreau de Montréal et les Jeunes médecins du Québec.

« C’est une orientation relativement nouvelle pour nous. Le milieu associatif a des besoins particuliers et nous voulons répondre à ces besoins », fait-il remarquer.