2016 a été l’année des programmes de souscription accélérée, selon un rapport du réassureur français SCOR. Si les montants de ces polices étaient de 250 000 $ auparavant, le réassureur s’attend à ce que les montants augmentent cette année, pouvant même atteindre le million de dollars.

Ces entreprises utilisent des données non médicales et des analyses prédictives pour évaluer les risques, en plus des résultats de laboratoires et les données du MIB. Elles ne demandent plus d’examens médicaux, prises de sang ou échantillons d’urine.

Haut taux d’acceptation

Dans son rapport, SCOR mentionne avoir sa propre filiale, Velogica, qui fait de la souscription accélérée et qui puise les données non médicales de ses clients de diverses sources : historique criminel et financier, de même que les réseaux sociaux.

Parmi les polices reçues pour souscription accélérée, Velogica a pu générer des recommandations de souscription pour 95 % des cas. Les clients éligibles à une approbation sont couverts pour les mêmes primes que les produits à souscription complète.