La croissance des cabinets qui forment aujourd’hui Martel & Martel a toujours reposé sur la croissance organique. Il en sera de même pour la nouvelle entité.

L’entreprise ne ferme pas la porte pour autant aux acquisitions, disent ses deux coprésidents Anne Martel et Richard Martel. Richard a d’ailleurs réalisé des acquisitions dans le passé.

« Acquérir n’est pas notre premier objectif, dit Anne. Si on va dans cette voie, c’est parce que nous aurons trouvé quelqu’un qui aime ce qu’on met de l’avant, qui se sent concerné par notre approche jumelant assurance de dommages et assurance collective. On regarderait surtout auprès de gens n’ayant pas de relève. Notre objectif n’est pas de devenir un cabinet de grande envergure. On est le petit des grands », dit Anne.

« Le volume ne détermine pas ce que tu offres », ajoute Richard. Les deux dirigeants ont d’ailleurs préféré ne pas dévoiler leur volume de primes lorsque questionné par le Journal de l’assurance.

Pour mousser sa croissance organique, Martel & Martel mise notamment sur l’innovation. L’entreprise de 17 employés compte un directeur de l’innovation en la personne de Jean-Pierre Le Gresley. Ce dernier est d’ailleurs un ancien athlète de haut niveau, notamment en snowboard.