Charles Brindamour maintient qu’ING Canada n’est pas à vendre. Des rumeurs ont surgi à cet effet en début d’année après qu’ING Groep, l’actionnaire d’ING Canada, ait vendu sa division IARD au Mexique au Groupe AXA. De plus, ING Groep avait déclaré dans le passé que l’assurance de dommages ne faisait plus partie de ses activités primaires (core business).M. Brindamour dit bien vivre avec cet état de fait. « Ce n’est pas quelque chose de nouveau. En 2004, nous avions une acquisition sur la table et on avait besoin du soutien du Groupe. Il a toutefois préféré investir en Asie et dans ING Direct. Nous avons alors décidé, avec le Groupe, de bâtir une stratégie de croissance basée sur nos propres forces et nos propres ressources financières. Tout cela en maintenant la relation d’investisseurs avec le Groupe », dit-il.