Un bon nombre d’économistes québécois souhaite que la règlementation en vigueur dans l’industrie du taxi soit modifiée pour favoriser une plus grande concurrence.

Ce sont ainsi 61 % des 150 économistes sondés par l’Association des économistes québécois et la firme Raymond Chabot Grant Thornton qui pensent ainsi. On en retrouve toutefois 29 % qui croient plutôt qu’il faut obliger les taxis Uber à payer une taxe spéciale dont les revenus serviront à compenser les pertes subies par les propriétaires de permis valides.

Ila étaient par ailleurs 74 % à affirmer que la réglementation en vigueur étaient des freins à l’innovation et au développement du marché. Pour cette question, les économistes étaient invités à répondre sur la montée d’Uber, mais aussi sur débat qui a cours dans le secteur de l’acériculture. Ils ajoutaient dans une proportion de 80 % que la règlementation en cours était une invitation à la tricherie de la part des clients d’Uber.