L’approche technique et structurée aide les assureurs à repérer les maisons qui ont abrité des cultures hydroponiques. Elle leur permet donc de se prémunir contre les réclamations qui y sont liées. C’est ce qu’affirment Alain Pelletier et Éric Walsh qui sont à l’origine de cette approche.M. Pelletier dit avoir constaté de nombreux dossiers du genre à Montréal, à Laval mais aussi dans les Laurentides et dans Lanaudière. « Deux ou trois cultures nécessitent un éclairage de 60 000 watts. Les moisissures se développent donc en raison d’une humidité excessive. Or, celles-ci continuent d’être assurées. Il en résulte souvent des poursuites pour vice-cachés », mentionne M. Pelletier.