Plusieurs grands joueurs américains, tels Mercer, Towers Watson ou encore AON Hewitt, sont bien implantés dans le marché québécois de l’assurance collective. AGA Assurances collectives ne craint toutefois pas leur concurrence, malgré leurs vastes moyens.« Ces grands cabinets voient le Canada comme un marché mature. Ils n’ont plus d’argent à y mettre pour des acquisitions. C’est ce qu’on voit quand on fait du démarchage. Ils n’ont plus d’appétit », dit Martin Papillon, président d’AGA.

Il souligne aussi que le marché collectif, très fragmenté, a connu encore peu de transactions. D’autant plus si on le compare au marché de l’assurance de dommages.