« On est présent sur les réseaux sociaux. En revanche, est-ce que nous sommes présents parce que ça génère du chiffre d’affaires? La réponse est non », prévient d’entrée de jeu Bernard Laporte, le président d’Intergroupe. On le fait parce qu’on se doit de communiquer et qu’on recherche de la notoriété pour nos clients et nos affiliés. »

Si Intergroupe a choisi d’être proactif sur les réseaux sociaux, c’est avant tout pour répondre à l’attente de ses membres. C’est aussi parce que M. Laporte refuse d’attendre de voir comment les technologies vont évoluer, et parce qu’il ne souhaite pas « rester sur le quai ».

Un réseau a, semble-t-il, sa préférence. « LinkedIn regroupe plus de professionnels, j’ai moi-même plus de 1 000 personnes qui me suivent », précise-t-il, affirmant avoir déjà recruté grâce au réseau. Il regrette toutefois que LinkedIn soit aujourd’hui pollué par toute sorte de publications à l’intérêt très limité.

Preuve de la volonté du président d’Intergroupe d’assoir la notoriété de la bannière sur les réseaux sociaux : ce denier prévoit de renforcer sous peu son équipe markéting.