Les Américains préfèrent parler de drogue, d’alcool de religion et de politique à leurs enfants plutôt que d’assurance vie, révèle un sondage en ligne effectué par State Farm Life aux États-Unis.
Dans les sujets de discussion avec leurs enfants, 55 % des parents privilégieraient les drogues et l’alcool, 53 % la religion, 44 % la politique et 38 % l’assurance vie. Les résultats démontrent à quel point il est difficile pour les parents de parler d’assurance vie, a commenté Nancy Behrens, vice-présidente, vie, santé et fonds communs, State Farm Life, dans une contribution à titre d’invitée de LIMRA.

Le sondage a aussi révélé un écart entre l’importance que les parents accordent à l’assurance et les efforts qu’ils consentent à en acheter. Alors que 78 % d’entre eux disent que l’assurance joue un rôle dans leur planification financière globale, seulement 59 % des parents seraient prêts à ajuster leur budget pour en acheter en conséquence. En fait, 76 % des parents consentiraient plutôt une part de leur budget à la câblodistribution, 69 % à des vacances en famille et 62 % à un service de téléphone mobile pour chaque membre de la famille.

Un autre sondage de State Farm révèle que plusieurs malentendus subsistent chez les Américains en matière d’assurance, alors que 44 % d’entre eux croient que l’assurance n’est accessible qu’en cas de décès, ignorant ainsi l’existence des produits de prestations du vivant.

Les résultats d’une récente étude-baromètre de LIMRA vont dans le même sens. Les principales barrières à l’achat d’assurance sont dans l’ordre les autres priorités financières, l’incertitude quant au montant ou au type de produit d’assurance à souscrire et la procrastination.