Conscient que les réseaux sociaux génèrent du trafic, mais pas nécessairement des ventes directes, Lussier Dale Parizeau mise plutôt sur le développement de son image de marque, de sa notoriété auprès de publics qui connaissent le cabinet, et aussi de ceux qui ne le connaissent pas.
« Les réseaux sociaux nous permettent de propager notre nom, résume Christine Latour, directrice, ventes et stratégies. Un autre objectif est lié au recrutement, principalement sur LinkedIn, grâce à notre volet ressources humaines très actif. Enfin, notre présence sur les réseaux sociaux a permis de générer du trafic vers notre site internet. Facebook fait d’ailleurs partie du top 5 des sources d’affluence du site de Lussier Dale Parizeau. »
En revanche, se lancer sur Twitter ne fait pas partie des projets à venir. « Twitter exige une instantanéité qui n’est pas facile à assurer. Or, nos réseaux sociaux sont gérés par notre équipe markéting. Il faudrait donc faire valider le contenu de chaque gazouillis par un vice-président ou l’un de nos courtiers…, poursuit Mme Latour. Twitter reste un véritable défi, car on ne peut pas se lancer là-dedans, sans personne pour gérer le trafic en arrière. Et une fois qu’on y est, on ne peut pas se retirer. »
Afin de démystifier les idées reçues sur l’industrie, et pour démontrer son expertise, Lussier Dale Parizeau a aussi créé un blogue.
« Nous essayons aussi Pinterest avec pour objectif d’atteindre une nouvelle cible, surtout féminine, car ce sont les femmes qui sont souvent responsables des questions d’assurance dans le couple, ajoute Christine Latour. Nous sommes aussi présents sur Google+, même s’il s’agit d’un réseau qui n’est pas très populaire. Mais on se dit qu’il doit bien y avoir un algorithme de Google derrière qui pourrait améliorer notre référencement par les moteurs de recherche. »