Capital Group a nommé Sophie Orru au poste de vice-présidente et intermédiaire auprès des conseillers (wholesaler) pour le Québec. Le gestionnaire dit ainsi confirmer sa stratégie de croissance et son intérêt marqué pour le marché du Québec.

Mme Orru collaborera avec les conseillers financiers à travers la province, en anglais et en français. Elle sera basée à Québec, ainsi qu’au bureau de Capital Group à Montréal.

Ajout de taille

Capital Group s’est implanté dans le marché Canadien en 1998, lorsqu’il a ouvert un bureau de recherche à Toronto. Il a lancé son premier fonds commun de placement au Canada en 2001. Son siège social canadien est situé à Toronto. Capital Group gère par plus de 1 900 milliards de dollars US de placements et a plus de 7 200 associés à travers le monde.

Ce gestionnaire de fonds estime que l’arrivée en poste de Mme Orru est un ajout de taille. Elle cumule 20 ans d’expérience, dont 14 ans à Placements Franklin Templeton dans l’Est-du-Québec. Elle a aussi été représentante auprès des conseillers pour Invesco Canada, et a œuvré plusieurs années pour la Banque Nationale du Canada.

Développer la marque

Capital Group s’affaire à mettre en place son équipe des ventes et du marketing au Québec. De plus, la société a lancé un site Web français et y ajoutera davantage de contenu dans les prochains mois. « Le Québec représente un marché très important pour Capital Group et je suis honorée d’être la toute première wholesaler basée dans la province, dit Mme Orru. Grâce à mon expérience dans l’industrie, j’ai hâte de continuer à développer la marque et l’expansion des affaires à travers la province de Québec. »

« L’ajout de Mme Orru à notre équipe reflète le plan de Capital Group de croitre au sein du marché stratégiquement important du Québec, tout en aidant les investisseurs à atteindre leurs objectifs financiers », précise Rick Headrick, président de la division canadienne de Capital Group.

Capital Group se distingue par une approche de partage de ses économies d’échelle mondiales avec les investisseurs. « Au fur et à mesure de la croissance de ses actifs, les frais ont diminué, ce qui a contribué davantage aux résultats », explique le gestionnaire.