Cyberattaque. Cyberpirate. Cyberespionnage. Cyberfraude. Cybercriminalité. Cyberfinance criminelle. Cybercambriolage. Cyberarnaque. Cyberusurpation d’identité. Cybersécurité. Cyberrisque.
Aucun de ces termes n’existait il y a 40 ans.
Aujourd’hui, plus personne ne les ignore parce qu’aucune grande entreprise ne semble être à l’abri : gouvernements, institutions financières, bourses, Facebook, ministères, émetteurs de cartes de crédit, Equifax, multinationales, PME, aéroports, centrales nucléaires, chaines hôtelières, hôpitaux, etc.
L’atteinte à la sécurité des données vécue par le Mouvement Desjardins a eu l’effet d’un électrochoc et d’un signal d’alarme. Elle a notamment amené les autres acteurs des secteurs des services financiers et des assurances au Québec à s’interroger sur la vulnérabilité de leurs systèmes de sécurité internes et externes et à les analyser. Elle a probablement incité certains à refaire leurs devoirs et à réviser leurs mesures de protection à la hausse.
En octobre dernier, UV Assurance a tenu un forum sur la cybercriminalité. Plus de 75 experts en assurance, dont des concurrents de cet assureur vie, y ont été conviés pour exposer les dangers de la cybercriminalité pour le secteur des assurances.
Voici un portrait de ce qui y a été discuté, mais aussi des solutions pour rehausser la protection de l’industrie contre toutes ces menaces.