Au cours des 5 à 10 dernières années, on a assisté à une hausse considérable de la capacité des membres des conseils d’administration à bien évaluer les risques auxquels ils font face, soutient Ian Fraser, vice-président adjoint, ProFin, chez RSA Canada. Les courtiers peuvent aider les entreprises à déterminer les limites des couvertures qu’elles acquièrent et ainsi les aider à mieux évaluer les avantages des produits à leur disposition. « Il importe que les entreprises se dotent d’un solide programme de gestion du risque et que le courtier aide à structurer un programme qui atténue tous les éléments de risque », dit M. Fraser.

La nouvelle police que RSA Canada vient de lancer, « Couverture A, incluant des différences dans les conditions », s’attaque aux genres de pertes qu’une organisation ne peut pas ou ne veut pas indemniser. « Si vous avez une police D&A avec toutes les couvertures nécessaires, il est important d’y ajouter « Side A Dic », - elle enrichira l’ensemble et offrira une couverture spécifique aux administrateurs et dirigeants », dit M. Fraser. « Cette protection est conçue pour être la dernière ligne de défense entre eux, leurs actifs personnels et le litige. »

« Les courtiers sont les mieux placés pour aider les entreprises à bien comprendre les limites de leur police D&A. Ils sont aussi en mesure d’offrir la couverture supplémentaire qui permettra de retenir les cadres de la haute direction et, par le fait même, de protéger la réputation de l’organisation », explique M. Fraser.