Au Québec, Ron Pavelack a dû piloter un dossier épineux au cours de la dernière année. Il a fait un tri dans les cabinets avec lesquels Echelon traitait. L’assureur a mis fin à plusieurs ententes qu’il avait avec des courtiers.

« Nous traitions avec 450 courtiers, dont certains n’avaient qu’entre 5 000 $ à 10 000 $ de risques placés chez nous. On ne peut pas traiter tout cela. On a donc demandé à certains courtiers de nous présenter un plan d’affaires pour redresser le tout. »

Cet exercice a poussé l’assureur à imposer une exigence de volume pour traiter avec lui. Echelon était l’un des derniers assureurs à ne pas en exiger. Les deux hommes n’ont pas voulu dévoiler à combien ce seuil serait fixé. Ils ont spécifié qu’il serait moins élevé que ce que l’on voit dans l’industrie.