Selon le deuxième baromètre annuel du degré de préparation à la retraite de Mercer, l’épargne-retraite des femmes est de 30 % inférieure à celle des hommes. Elles doivent donc travailler deux ans de plus.

Pourtant, les femmes sont de meilleures investisseuses que les hommes. Comment alors expliquer cet écart.

Les raisons sont multiples, mais il est possible de corriger cette iniquité.

Par Hubert ROY et Susan YELLIN