Le Comité consultatif sur l’innovation et les nouvelles technologies (INNOTECH) du Centre d’étude de la pratique d’assurance (CSIO) a approuvé le 28 février dernier des projets visant à « améliorer les avis de sinistres et de facturation et la normalisation de l’interface de programmation d’applications ».
« Nous nous efforçons d’améliorer l’expérience de l’assurance dans son ensemble pour nos clients et partenaires de l’industrie. Collaborer avec des pairs de l’industrie nous a permis de plonger en profondeur dans les solutions proposées et de les évaluer en tant que groupe. En raison de tout le travail acharné du comité, nous avons maintenant un plan d’action pour faire avancer les solutions », a affirmé Derek Ward, membre du comité et directeur du laboratoire d’innovation chez la Compagnie mutuelle d'assurance Wawanesa.
Une réunion en amont
Selon le CSIO, ces solutions ont été présentées lors de la dernière réunion du comité. Lors de celle-ci, des discussions avaient été entreprises concernant les problèmes vécus par les clients lors des processus de souscription, de service et de réclamations en assurance.
« Après cette session, des sous-groupes composés de membres du comité ont entrepris des recherches supplémentaires concernant ce qui avait été proposé. Ces résultats de recherche ont été présentés au Comité lors de la réunion du 28 février », a dit au Portail de l’assurance Debbie Vassos, directrice du markéting et des communications pour le CSIO.
Mme Vassos ajoute que les solutions recommandées par le comité ont pour but d’aider le CSIO à évaluer et promouvoir les implémentations technologiques qui seraient bénéfiques pour les clients, en plus d’aider à éliminer des coûts de « la chaîne de valeur de l’assurance ». Ces solutions « aideront les courtiers à faire un usage plus productif de la technologie et à automatiser le travail manuel pour leur permettre de consacrer plus de temps au service au client », ajoute-t-elle.
Prochaines étapes
Le CSIO indique que l’étape suivante du processus d’adoption des projets va consister à former, pour chaque solution approuvée, un groupe de travail qui réunira des spécialistes des organisations membres.
« Ces groupes de travail concevront des propositions qui définiront les exigences à satisfaire et quantifieront la valeur que l’industrie peut espérer obtenir de chaque solution si elle est mise en œuvre. Une fois terminées, ces propositions seront soumises à l’approbation du conseil d’administration du CSIO », dit le centre d’étude.