L’utilisation des chargements automatisés fait des heureux au sein de la clientèle de Technologie Keal, et l’entreprise compte bien poursuivre sur cette lancée. « On est très excités de commencer un projet au début de janvier 2015 pour les chargements automatisés et les transactions en temps réel », indique son PDG, Pat Durepos.Le chargement automatisé était vraiment au cœur des préoccupations de l’entreprise, et les résultats de son application sont aujourd’hui probants. « Pour les courtiers, les délais d’attente, c’est en temps réel. Il n’y en a pas de délai », explique M. Durepos.

Lors d’une entrevue accordée au Journal de l’assurance en 2012, M. Durepos avait exprimé le désir de voir les courtiers se retrouver au même niveau que les directs, une mission qui pourrait être qualifiée d’accomplie, selon lui, avec l’avancée des technologies. « Le courtier va bénéficier de cette technologie, ce qui va le mettre au même niveau que les directs », croit-il.

L’importance de la rapidité et de l’efficacité du travail fait avec un courtier prend une dimension plus profonde que celle du simple service, d’après Pat Durepos, qui base ses observations sur un sondage mené par la firme Deloitte et Touche. « La majorité des répondants disent qu’ils considèrent leur courtier comme étant leur conseiller le plus fiable », indique-t-il. Pourtant, si le conseiller n’est pas en mesure d’offrir des services rapides, le consommateur peut être tenté de se diriger vers les directs, montre le même sondage. « C’est 52% des répondants qui affirmaient que s’ils ne pouvaient pas faire rapidement des transactions en temps réel ou encore des changements qu’ils jugeaient importants à partir de leur ordinateur, ou de n’importe quelle façon, ils considèreraient l’option de laisser les courtiers pour s’en aller avec des directs », explique-t-il.

Il estime que Technologie Keal a bien entendu cet appel. « Chez Keal, quand on a vu que cette conversation-là prenait place, on a mis des outils à la disposition des courtiers », assure-t-il.

D’ailleurs, les assureurs sont nombreux à répondre à l’appel, selon lui. « En qui concerne les grands assureurs en termes de volumes, on a trois des cinq plus grands », dit-il.