Suite à la publication de notre article sur les résultats financiers du secteur de la réassurance vie paru dans le Journal de l’Assurance, édition juin/juillet 2007, Optimum Réassurance a tenu à souligner deux erreurs survenues dans l’article.Contrairement à ce que nous écrivions en page 66 de cet article, Optimum Réassurance ne s’est pas retirée du marché des maladies graves et continue d’offrir son expertise et sa capacité pour tous les produits de ce secteur d’affaires, tant en individuel qu’en collectif (crédit, prêt, hypothèque).

«Nous avons présentement en vigueur plusieurs ententes automatiques de réassurance en maladies graves avec des taux garantis. Cependant, nous avons choisi de limiter notre participation au marché de masse dont les montants d’assurance sont de 250 000$ et moins. Nous estimons que la demande pour une couverture supérieure à ce montant est trop minime. Selon les statistiques de l’industrie, moins de 5% des polices sont émises pour des montants excédant 250 000$ et seulement 1% pour des montants de 500 000$ et plus», a écrit Optimum Réassurance dans une lettre à ses clients dont elle a envoyé copie au Journal de l’assurance.

Aussi, nous écrivions dans cet article en page 68 qu’Optimum Réassurance n’a pas la capacité de réassurer des polices d’assurance vie individuelle de 2 millions$ par vie assurée. Or, le réassureur précise que cette contrainte ne touche que les produits d’assurance maladies graves. «Notre capacité en assurance vie peut atteindre 12,5 M$ par assuré, ce montant pouvant varier selon le produit et le risque», précise la compagnie dans sa lettre.

Toutes nos excuses pour les inconvénients que ces imprécisions ont pu causer.